Depuis l’AR.Drone de Parrot, ces petits engins volants ont fait beaucoup parler d’eux. De plus en plus performants, mieux équipés, capables de voler en formation, d’éviter des obstacles ou encore de livrer nos achats en ligne directement à la maison, les drones présentent de nombreuses applications.

Lily est un drone quadricoptère capable de vous suivre à la trace grâce à son GPS embarqué. Il filme tous vos exploits sportifs en totale autonomie. Il suffit de le lancer en l’air pour démarrer une nouvelle vidéo en mode poursuite.

Inutile de vouloir le contrôler, Lily est autonome. Il se dirige par lui-même, se concentre sur vous et vous colle au train grâce au capteur que vous portez au poignet. Depuis les airs, Lily cadre automatiquement l’objectif de sa caméra sur vos déplacements. Le drone embarque une caméra 12 mégapixels capable de filmer vos aventures en haute définition.

Lily peut vous suivre à une vitesse maximum de 40 km/h, à 30 mètres de distance et jusqu’à 15 mètres au dessus de votre tête.

Pour le rappeler au bercail, il suffit de tendre le bras et le drone atterrit tranquillement dans la paume de votre main.

Le dispositif de suivi à porter au poignet, est équipé d’un micro qui enregistre les sons de vos exploits. Ces derniers peuvent ensuite être synchronisés avec les images prises par la caméra du drone.

Lily nécessite 2 heures pour être totalement chargé et offrir 20 minutes de vol autonome. Si ses batteries sont à plat en pleine session de kayak, pas de soucis ! Le drone Lily est waterproof. Son corps flottant lui permet d’atterrir sur l’eau en toute sécurité.

Une application iOS et Android permet de modifier les réglages de la caméra, de créer de nouvelles prises de vues, d’éditer et de partager vos vidéos.

Lily peut être actuellement précommandé jusqu’au 15 juin sur le site officiel pour 499 dollars (hors frais de livraison). Ses inventeurs espèrent livrer les premières commandes en février 2016. Le prix public annoncé après cette campagne de précommandes est de 999 dollars.

Merci à Jérémy pour l’info !

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Baptisée Lorica, cette armure de gladiateur 2.0 protège l’utilisateur contre toute blessure. Elle embarque également un système qui détecte et localise les coups portés et qui calcule leur force en temps réel, qu’il s’agisse d’un coup de bâton, d’épée, de pied ou de poings. Le système donne ainsi un score en fonction des dommages que le combattant aurait subi si il avait été sans protection.

Des lumières LED intégrées à l’armure, changent de couleur en fonctions des dommages, jusqu’au « KO virtuel », c’est à dire lorsque la barre de vie virtuelle du combattant est au plus bas. De quoi faire ressembler un combat réel à un jeu vidéo.

La caméra et les microphones intégrés au casque de l’armure, permettent aux spectateurs de « vivre » l’expérience comme si ils étaient à la place du combattant. Des capteurs biométriques, quant à eux, donnent le rythme cardiaque, le niveau de saturation en oxygène et la température du corps.

Encore à l’état de prototype, cette combinaison de protection doit encore être améliorée avant de lancer les premiers combats d’UWM, le nouveau championnat de sports de combat high-tech prévu pour le début de l’année 2016. L’UWM va t-il remporté le même succès que l’Ultimate Fighting Championship (UFC) ?

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Coté look, cette Twizy Sport F1, dispose des appendices aérodynamiques spécifiques à la F1, comme par exemple ses ailerons avant et arrière. La monte pneumatique a également été modifiée. Mis à part quelques détails stylistiques et quelques renforts, le design de cette petite sportive électrique reste dans la ligne la version de série.

Coté mécanique, les ingénieurs de Renault Sport ont ajouté le système « KERS » (Kinetic Energy Recovery System) emprunté à la Formule 1. Le KERS est chargé de récupérer l’énergie cinétique lors du freinage. Après avoir accumuler assez d’énergie, ce système donne un coup de boost à la Twizy en délivrant un surplus de puissance de 80 chevaux pendant une quinzaine de secondes.

Coté performances, la Twizy Sport F1 dispose de 97 chevaux et abat le 0 à 100 km/h en seulement 6 secondes. Cette « bombinette » électrique atteint les 110 km/h contre 85 pour la version de série. Malgré les efforts des ingénieurs, la Twizy Sport gagne une trentaine de kilos supplémentaires, portant son poids à plus de 560 kg.

Bien entendu, n’espérez pas un jour vous acheter cette Twizy F1. Elle reste un concept-car chargé de faire la promotion de la marque et du savoir-faire de ses ingénieurs.

Cette interprétation sportive de la petite Twizy électrique n’est pas sans rappeler le fameux Renault Espace F1 du milieu des années 90, fort de son V10 développant 820 chevaux et propulsant l’engin à 310 km/h.

Pour le plaisir, voici une petite vidéo de l’Espace F1.

Source Renault via Le Point

Image Renault Espace F1 : Motoren

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Ceux qui aiment les sensations fortes vont pouvoir transformer, en hiver comme en été, les espaces sauvages en terrain de jeu (sans oublier de respecter la nature quand même).

Le DTV Shredder est une sorte de trottinette ou de scooter équipé de deux chenilles pour profiter pleinement de tous les terrains.

Ce « char personnel » est propulsé par un puissant moteur de 200cc capable d’emmener son pilote à 50km en arrachant littéralement le sol. Il ne devrait donc pas être homologué sur la voie publique.

Au cours des dernières années la société BPG Werks s’est illustrée dans le domaine du transport personnel avec plusieurs projets novateurs comme la moto électrique UNO.

Les premier DTV Shredders devraient arriver en France d’ici la fin du mois et leur tarif sera à la hauteur des attentes : environ 5 500 euros l’unité… Un joujou pour les grands enfants qui ont le portefeuille bien rempli…

Au delà du sport extrême, le DTV Shredder pourra également servir aux forces de l’ordre et aux installations agricoles.

En attendant, voici une vidéo de l’engin en action.

Source BPG Werks via Gizmag

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La société allemande, ASB GlassFloor propose une solution innovante et respectueuse des normes internationales avec son plancher présenté comme le revêtement de sol sportif le plus avancé du marché. Ce plancher se compose d’une surface en verre reposant sur une structure en aluminium. Des rampes de LED encastrées dans ce plancher permettent d’afficher le marquage au sol et de le changer sur demande pour l’adapter en une seconde au sport pratiqué.

Cette technologie, qui peut être implémentée à l’intérieur comme à l’extérieur, offre l’avantage de n’afficher qu’un seul marquage à la fois tout restant polyvalente. Les salles n’ont pas besoin d’effacer et de repeindre le marquage au sol pour chaque sport et il est même envisageable d’afficher les logos des sponsors sur le terrain de la même manière.

La surface du plancher en verre est recouverte d’une couche de céramique gravée, permettant de laisser passer la lumière des LEDs sans éblouir les joueurs. Cette composition offre aussi l’avantage de reproduire l’élasticité et le grip des meilleurs revêtements sportifs. Il ne lui manque que quelques capteurs pour assister les arbitres…

La technologie d’ASB GlassFloor permettrait même de transformer la totalité du sol en écran géant. D’autres applications pourraient être envisagées dans les bâtiments publics comme l’affichage d’indications au sol pour l’évacuation des personnes en situation d’urgence.

Source ASB GlassFloor via Gizmag

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